Chaque jour, j’écoute battre mon coeur


Coucou tout le monde,

Enfin me revoilà parmi vous ! Je ne sais pas pour combien de temps, mais aujourd’hui j’ai vraiment envie de venir partager l’une de mes dernières lectures avec vous.

Alors pour commencer, j’ai décidé de vous parler d’un livre qui m’a énormément plu et qui m’a fait du bien.

Il s’agit de

Résumé : Comment peut-on expliquer qu’une femme dont l’espérance de vie à dix-sept ans était de six mois s’apprête aujourd’hui à fêter ses cinquante ans ? Quelle force permet de se relever, de voir une opportunité dans la difficulté ?
Charlotte Valandrey, séropositive et greffée cardiaque, s’est construit au fil des épreuves une philosophie de vie unique : l’optimisme vrai. Son principe ? Se concentrer sur la réalité de l’instant présent, sur tout le potentiel que l’on a en soi, et aimer vraiment la personne que l’on est. En alliant optimisme, bienveillance et vérité thérapeutique, Charlotte a appris à dépasser ses émotions négatives, à mobiliser ses ressources intérieures, à motiver son corps et son esprit vers un seul but : jouir de la vie ici et maintenant.
Cet ouvrage de « dévoilement de soi » offre toutes les clés pour savourer le présent, croire en sa volonté, en son pouvoir d’action, se libérer de ses peurs et devenir le meilleur de soi-même. Charlotte y partage son expérience et livre en toute sincérité ses secrets, ses exercices et ses techniques – ses mots aidants, ses plans d’action, sa méthode ADIVA…

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Ce n’est pas le premier livre de l’auteure que je lis, mais j’avoue que celui-ci est magnifique !

Femme forte et pleine d’humilité, Charlotte Valandrey , nous livre avec beaucoup de douceur les épreuves qu’elle a traversées. De sa séropositivité à sa greffe du coeur, elle partage en toute simplicité son combat, sa volonté et sa force de vivre qui lui ont permis de lutter et de survivre.

À travers « Chaque jour, j’écoute battre mon coeur », elle nous livre ses vérités lors de ce combat. Même si sa séropositivité et sa greffe du coeur auraient pu l’emporter, elles l’ont rendue plus forte et l’ont poussé à se dépasser, à s’écouter, se comprendre et à s’accepter pour enfin réussir à avancer toujours plus loin.

Elle nous montre que même si les épreuves nous semblent insurmontables, nous sommes bien plus forts que ce que l’on croit et que nos pensées positives, nos actions peuvent modifier notre futur. Vivre le moment présent, croire en soi, en l’avenir et laisser nos peurs de côté pour nous permettre enfin de trouver le meilleur dans ce qui nous semble le pire.

Avec de simples mots, mais tellement forts et personnels, Charlotte Valandrey m’a beaucoup apporté sur bien des points, femme forte et courageuse, je l’admire pour tout son parcours.

Je vous conseille vivement ce livre car il vous redonne espoir dans les moments les plus difficiles. En tout cas chez moi, ça a marché !

Bonne lecture à tous et à bientôt pour d’autres partages 😉

La fille qui voyage au-delà des mers


Un livre qui va bouleverser vos représentations. Tom, enseignant, rencontre Jane, la plus belle femme qu’il ait jamais vue. Celle-ci, mystérieuse, ne se livre pas beaucoup. L’amour naît entre ces deux êtres issus de milieux complètement différents. Un an plus tôt, Jane, candidate à l’exil, attend son vol en direction de la Turquie. Son périple commence et il ne sera pas de tout repos. Parviendra-t-elle à raconter à Tom son parcours ? Leur passion va-t-elle durer malgré leurs différences de culture et la situation de Jane ?

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La fille qui voyage au-delà des mers

Éditeur : Books on Demand (23/02/2020) Auto-édition

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Pour commencer, je tiens à remercier Mathias Goddon et Orland Mbetoule pour ce service de presse. Merci à eux de m’avoir contacté et fait découvrir leur histoire, une histoire qui mérite vraiment d’être connue.

Jane est une jeune Camerounaise qui souhaite quitter son pays avec pour objectif La France. Durant des mois, elle planifie tout et tente de réunir l’argent qu’elle devra donner aux passeurs pour lui permettre de fuir son pays mais aussi son entourage qui ne se préoccupe que peu d’elle et des siens.

« La famille est parfois notre pire ennemi »

Pourtant rien ne se passe comme elle l’avait prévu et c’est à partir de ce moment que le doute s’installe, elle n’est plus très sûre de pouvoir atteindre un jour « La Terre Promise ». Malgré les embûches, les centres de détentions avec des conditions de vie inhumaines, les humiliations, les injures, Jane s’estime pourtant chanceuse car certains n’ont pas eu la chance de pouvoir arriver jusqu’ici. Courageuse et persévérante, elle ira jusqu’au bout de son rêve.

En parallèle, Tom narre le début de son histoire d’amour avec Jane mais aussi leur vie à Grenoble et toutes les médisances dont ils ont été la cible. Les couples mixtes sollicitent encore de nos jours beaucoup de questions !

J’avoue avoir eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, mais dès le moment où Jane raconte son périple, j’ai été complétement happée. Ce récit est tout à la fois, dur par cette haine qui nous fait front, insoutenable par certains traitements inhumains lors de l’incarcération de la jeune femme. Et en même temps, il y a beaucoup d’émotions, de sentiment de par cet amour naissant entre les deux personnages principaux, qui au final donne l’espoir d’un avenir meilleur. Ce texte ne peut vraiment pas nous laisser indifférent, car de nos jours l’exil peut être connu de tous, même si ce n’est pas forcément pour les mêmes raisons. (Ici, je fais allusion à l’exil climatique)

J’ai vraiment passé un agréable moment et pour conclure je dirais que malgré la dureté du thème, c’est aussi une très belle histoire d’amour,

Un amour sans frontière ! 

La nuit de feu


À vingt-huit ans, Eric-Emmanuel Schmitt entreprend une randonnée dans le grand sud algérien. Au cours de l’expédition, il perd de vue ses compagnons et s’égare dans l’immensité du Hoggar. Sans eau ni vivres durant dans la nuit glaciale du désert, il n’éprouve nulle peur mais sent au contraire se soulever en lui une force brûlante. Poussière d’étoiles dans l’infini, le philosophe rationaliste voit s’ébranler toutes ses certitudes. Un sentiment de paix, de bonheur, d’éternité l’envahit. Ce feu, pourquoi ne pas le nommer Dieu ?
Cette nuit de feu – ainsi que Pascal nommait sa nuit mystique –, Eric Emmanuel Schmitt la raconte pour la première fois, dévoilant au fil d’un fascinant voyage intérieur son intimité spirituelle et l’expérience miraculeuse qui a transformé sa vie d’homme et d’écrivain. Les chemins qu’il trace ici sont inscrits en chacun de nous.

La nuit de feu 2

 

Mon avis : Pour avoir déjà lu Eric-Emmanuel Schmitt avec Lorsque j’étais une oeuvre d’art que j’avais beaucoup aimé,  je ne vous raconte pas mon bonheur de recevoir celui-ci en cadeau d’anniversaire par mon chéri. Aussi je n’ai pas attendu très longtemps pour le lire 🙂

« La nuit de feu » est un récit autobiographique que l’auteur a mis quasiment 30 ans pour pouvoir l’écrire. Sans aucune prétention et de désir d’affirmer ou infirmer ce qui est, E.E schmitt partage son expérience longtemps cachée. Il lui a été difficile de mettre des mots sur cette expérience vécue lors d’une expédition dans le désert du grand sud Algérien, plus précisément à Tamanrasset. Parti là-bas avec une équipe pour un projet cinématographique, il était loin d’imaginer que ce voyage serait une révélation et le transformerait pour le restant de sa vie. D’autant que celui-ci n’avait aucune croyance et était agnostique.

Perdu dans l’immensité du « Hoggar » lors de cette excursion, il se retrouve seul face à lui-même sans eau ni même de protection. Les heures passent, la nuit tombe et son seul but est de se protéger. Alors les grains de sable lui serviront de lit. Il attend patiemment la mort qui seule pourra le libérer de cette nuit glaciale. Pourtant l’impensable se passe.  Il nous explique qu’une force venue d’il ne sait où, l’ envahit, le rassure, l’embrasse. Il est un tout au milieu de nulle part mais pourtant il a confiance et il se délecte de ce bonheur outrancier. Cette nuit-là changera sa vie à jamais. De ce voyage il aura beaucoup appris sur lui-même et sur la relation qu’il peut avoir avec les autres. S’il était « agnostique », cette expérience a modifié son regard et à présent il sait se remettre en question.

Tout au long du roman on se pose des tas de questions comme sur le fait d’appartenir à une religion selon notre lieu de naissance. Être musulman ou chrétien ? Athéiste ou agnostique pour être moderne ? Ou encore peut-on faire confiance à la science ? La liste est longue, mais la question la plus importante pour l’auteur concerne notre « Ouverture d’esprit ». Puis il y a les personnages secondaires, tous différents mais qui apportent un plus au message de l’auteur. L’un est matérialiste, l’autre très terre à terre, puis la catho et les scientifiques qui tentent de tout expliquer par la science.

Il y a énormément de choses à dire sur ce livre. Mais seul notre point de vue peut diverger selon notre perception du récit. Pour ma part, ce fut un délice que je vous conseille de savourer. Seul petit, mais petit bémol, dommage qu’il soit si court !

 

Le philosophe nu


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Comment vivre plus librement la joie quand les passions nous tiennent? Comment oser un peu de détachement sans éteindre un coeur ? Eprouvé dans sa chair, Alexandre Jollien tente ici de dessiner un art de vivre qui assume ce qui résiste à la volonté et à la raison. Le philosophe se met à nu pour ausculter la joie, l’insatisfaction, la jalousie, la fascination, l’amour ou la tristesse, bref ce qui est plus fort que nous, ce qui nous résiste… Convoquant Sénèque, Montaigne, Spinoza ou Nietzsche, il explore la difficulté de pratiquer la philosophie au coeur de l’affectivité. Loin des recettes et des certitudes, avec Houei-neng, patriarche du bouddhisme chinois, il découvre la fragile audace de se dénuder, de se dévêtir de soi. Dans l’épreuve comme dans la joie, il nous convie à renaître à chaque instant à l’écart des regrets et de nos attentes illusoires. Cette méditation inaugure un chemin pour puiser la joie au fond du fond, au plus intime de notre être.

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Mon avis : Au travers de son récit, Alexandre Jollien  partage avec nous ce combat qu’il mène contre lui-même, une histoire d’homme, celle de tous les hommes confrontés à des passions destructrices. Et c’est avec sagesse et simplicité qu’il nous livre ce message : Il faut se libérer de nos passions qui parfois, nous enchaînent. Il faut apprendre à vivre avec elles, car même si elles sont parfois douloureuses, elles nous rendent vivants .

Dans cet essai, il nous propose un mode de penser sa vie. Un mode qui lui permet d’accepter son handicap et de se défaire de « sa passion » ou plus précisément de son admiration, sa jalousie envers les garçons « normaux ». Car pour lui avoir un corps parfait signifie avoir une vie parfaite. Mais au fil de sa vie, de ses rencontres, d’un séjour dans un monastère pour pratiquer « Le Zazen » (posture de méditation assise de la pratique du bouddhisme zen), il réussira avec beaucoup de difficultés à se réconcilier avec son corps.

Conclusion : Pour avoir déjà lu un certain nombre de ses livres, je ne sais pas si je serais très objective en disant que j’ai beaucoup aimé le message que veut nous transmettre Alexandre Jollien. Avec des propos simples, drôles parfois, mais toujours avec beaucoup de sincérité, l’auteur, le philosophe, se met vraiment à nu. Et même si ce livre est court (202 pages), j’ai mis beaucoup de temps à le lire car il demande plus de concentration et de réflexions que ses autres livres. 

Un livre à lire car il permet à chacun d’entre nous de revenir à l’essentiel ! 

Ne le dis pas à maman


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L’enfance prometteuse d’Antoinette cache un secret qui a failli la tuer. Dès l’âge de six ans, son père abuse d’elle. Courageusement, elle révèle l’indicible à sa mère, mais cela n’y fait rien, et des années de tortures sexuelles et mentales s’ensuivent. Enceinte de son père à quatorze ans, elle dévoile à nouveau son secret. Il est incarcéré, mais Antoinette est rejetée par sa famille, ses professeurs, et ses amis. Décidée à avorter, elle manque d’y laisser sa peau. Jeune adolescente, elle ne peut compter que sur elle-même pour se sortir de ce monde de dépression et de folie…

Avec Ne le dis pas à maman, best-seller en Angleterre, Toni Maguire décrit avec simplicité et lucidité son enfance cauchemardesque et sa courageuse reconstruction, touchant au cœur des problématiques humaines extrêmement complexes : comment vivre avec une mère qui se voile la face devant l’horreur, comment se reconstruire après une enfance brisée, et surtout, comment pardonner à son entourage ? Le tout dans un style impeccable de sobriété et sans voyeurisme.

Mon avis : Cela faisait un bout de temps que ce livre se trouvait dans ma bibliothèque et pourtant je n’arrivais toujours pas à le sortir. Et pour cause !

Cette petite fille vit l’horreur pendant 7 ans. Et sa mère au courant des agissements de son mari n’intervient pas, pire encore elle remettais la faute sur sa fille, sa propre chair. Et malgré cet abandon, Toni Maguire, elle, n »abandonnera pas sa mère  et ce jusqu’à son dernier souffle.

D’une écriture simple, mais magnifique Toni Maguire raconte son histoire avec beaucoup d’émotion. Une histoire difficile que je ne conseillerais pas aux personnes sensibles. Grâce à ce genre de livre, le monde devrait pouvoir porter un autre regard sur les victimes d’incestes, viols… Mais encore de nos jours et bien trop souvent, elles sont regardées comme des coupables, d’où le poids de cette culpabilité pesant sur celles-la même. Et qui au final en devient à mon sens un double fardeau.  

A la fin il m’a été difficile de lâcher le livre tellement j’aurais voulu voir du bonheur dans la vie de cette petite fille. J’espère qu’à présent elle l’aura trouvé !

Eloge de la faiblesse


Eloge de la faiblesseEloge de la faiblesse retrace un itinéraire intérieur, une sorte de conversion à la philosophie. L’auteur, handicapé de naissance, imagine recevoir la visite de Socrate en personne. Dès lors, s’ensuit un échange où de proche en proche émergent des outils pour apprendre à progresser dans la joie, garder le cap au cœur des tourments et ne pas se laisser déterminer par le regard de l’autre. La philosophie est ici un art de vivre, un moyen d’abandonner les préjugés pour partir à la découverte de soi et bâtir sa singularité. Peu à peu, une conversion s’opère, le faible, la vulnérabilité, l’épreuve peuvent devenir des lieux fertiles de liberté et de joie.

Mon Avis : Je viens d’achever la lecture de mon 2ème livre d’Alexandre Jollien que j’ai reçu dernièrement et ce fut de nouveau un délice.

Sous forme de dialogue avec Socrate, Alexandre nous livre un récit philosophique où il nous fait découvrir son quotidien d’homme handicapé. Dune belle écriture et avec beaucoup de sincérité, de générosité et d’amour, il partage sa philosophie pour vivre une vie meilleure. Après lecture, j’ai eu pour questionnement « Où se trouve la normalité ? » car ce qui peut être normal pour les uns et anormal pour les autres. Mais la réponse reste personnelle et c’est à chacun de trouver sa réponse.

De par son courage, sa ténacité, sa façon de voir la vie et de l’aborder, je trouve cet homme admirable et merveilleux.

J’ai hâte de lire d’autres de ses livres qui se trouvent déjà dans ma PAL.

N’oublie pas de m’aimer


Résumé :

« Vous m avez sauvé la vie! » criait un jeune homme courant vers moi dans la rue.

C’était suite à la parution de « L’Amour dans le sang », le témoignage de mon combat pour vivre…Bouleversée, j’eus alors l’idée d’écrire un livre pour aider, partager mes recettes personnelles, parsemées au fil de mon histoire, ainsi que des techniques simples apprises auprès de spécialistes afin de trouver le bien-être en dépit des épreuves, transformer les échecs en expériences, pour extraire le meilleur de nous-mêmes.Le retour éblouissant de Yann, l’amour mystérieux, cette année unique, périlleuse, lumineuse aussi, peuplée de rencontres surprenantes, symboliques, qui donnèrent à mon existence un sens nouveau… N’oublie pas de m’aimer est une histoire d’amour hors normes, et plus encore, mon aventure humaine, un authentique échange.

Je vous adresse un message, avec le coeur, espérant, ne serait-ce qu’un peu, vous rendre tout ce que vous me donnez…
N’oublie pas de t’aimer.
Charlotte Valandrey

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Mon avis :  Ici il s’agit plutôt d’une aventure humaine. J’ai beaucoup aimé et j’ai encore passé un bon moment de lecture en sa compagnie.
Entre les moments de sa vie que partage l’auteur et ses petits chapitres où elle sème ses propres techniques pour améliorer notre vie sont un pur « Bonheur ».
Ecrit très simplement, avec beaucoup de franchise et sans chichis, Charlotte nous est d’autant plus sympathique.
Elle traverse les épreuves de sa vie, mais toujours en tirant un enseignement.
J’admire sa « positive attitude », sa légèreté parfois, mais sa façon de voir la vie. Toujours à vouloir aider les autres sans pourtant en vouloir tirer profit. Juste de la générosité !
D’avoir frôler la mort et d’être toujours en sursis, fait d’elle une magnifique « Epicurienne » et permet à ceux qui l’ignorent ce que signifie « CARPE DIEM ». Une très belle leçon d’optimisme !

De coeur inconnu


En 2005, Charlotte Valandrey révèle dans L’Amour dans le sang sa séropositivité depuis l’âge de 17 ans et sa greffe cardiaque récente, le remplacement de son cœur passionné, éreinté : « C’est l’histoire d’une femme qui aima tellement qu’elle eut besoin d’un autre cœur… » Un mois après la parution de ce livre, Charlotte reçoit une lettre anonyme : « Je connais le cœur qui bat en vous, je l’aimais… » Ces mots, qui pourraient sembler fous, la bouleversent alors qu’elle est en proie à des cauchemars récurrents, des sensations impérieuses de déjà-vu et des changements intérieurs surprenants. C’est le début d’un étrange parcours pour Charlotte qui veut comprendre pour se libérer d’une présence qu’elle ressent intimement. Y a-t-il vraiment une autre vie en elle ?

Un voyant troublant, un cardiologue amant, une psychanalyste rationnelle et un professeur figé dans le secret médical vont tenter de lui répondre.

En quête de vérité, Charlotte, mère battante, femme joyeuse qui connaît le prix de la vie, nous entraîne avec elle dans un voyage initiatique captivant qui, des mystères de la mémoire cellulaire aux errances du cœur, la mènera peut-être vers ce port lumineux, but ultime de sa vie, l’amour rêvé, l’amour immense.

 

Mon Avis :

Pour moi, ce livre est une petite merveille.
Charlotte Valendrey y témoigne de certains moments de sa vie, le plus naturellement possible et avec beaucoup d’humilité. Elle garde un moral d’acier devant tant de souffrance et moi je dis « Respect ». Très bien écrit et très émouvant, on se demande où commence la fiction et où se termine la réalité ?

 

Elle partage avec nous, sa découverte sur la théorie de la mémoire cellulaire, selon laquelle nos organes stockent des informations (souvenirs, personnalité, goûts…), ainsi que ses interrogations. J’ai beaucoup aimé ce passage.

Dans cette même période, elle rencontre « l’amour » avec Yann. Un veuf qui n’accepte pas la mort de son épouse. Mais charlotte n’est pas au bout de ses peines quand elle apprendra qui est vraiment celui qu’elle aime.

Mais l’amour est plus fort que tout et il l’emportera sur le reste.

Une très belle lecture et surtout une très belle rencontre avec une femme merveilleuse.

 

Je pense lire d’ici quelques temps d’autres de ses livres.

 

J’ai rencontré des gens formidables


« Un jour, j’ai décidé de changer de vie.
Arrêter la télé, ne plus être L’Instit qui m’avait tant donné, redevenir Gérard. Retrouver ma famille après ces dix années exaltantes mais épuisantes de tournages, de nuits d’hôtel, de promotion…
Changer de vie, d accord, mais pour quoi faire ?
Alors j’ai regardé autour de moi. Et, devinez, j’ai bien aimé ce que j’ai vu.
Dans tous les pays, il y a des gens qui, avec très peu de moyens, bougent des montagnes et transforment l’existence de dix, cent ou mille personnes autour d’eux.
De ces gens sincères et humbles, les médias ne parlent jamais.
Je me suis dis que je pouvais les aider, à ma façon.
Depuis deux ans, ma femme Françoise, notre fille Ninon et moi sommes partis à leur découverte, caméra au poing, au Népal, au Cambodge, en Bolivie, au Pérou, au Maroc, en France aussi…
Aujourd’hui, j’ai envie de vous raconter ces belles rencontres, et de leur rendre hommage. Car leur histoire nous fait du bien. Pas besoin d’être un saint pour changer le monde. Nous pouvons tous, à notre mesure, participer.
Allez, je vous emmène les rencontrer, vous allez voir ce sont des gens formidables. »
Gérard Klein

 
Mon avis : Mr Klein m’a permis de voyager en restant chez moi . J’aime beaucoup sa simpicité et son grand coeur. Il rend un bel hommage à tous ceux qui par un moyen ou un autre donne de leur temps, de leur argent pour sauver un enfant quelque part dans le monde ou faire bien d’autres choses.
C’est aussi une belle leçon : On peut consommer moins et donner beaucoup d’amour aux autres
Voilà ce que je retiens de cette très belle lecture ! Merci Mr KLEIN