Le jour où j’ai appris à vivre


Et si tout commençait aujourd’hui ?

Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais dans l’instant son regard se fige, elle devient livide. Ce qu’elle va finalement vous dire… vous auriez préféré ne pas l’entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle.

C’est ce qui va arriver à Jonathan dans ce nouveau roman de Laurent Gounelle. À la suite de cette rencontre troublante, il va se retrouver embarqué dans une aventure de découverte de soi ponctuée d’expériences qui vont changer radicalement sa vision de sa vie, de la vie…
Ce roman, dont l’intrigue est basée sur des expériences scientifiques réelles, éclaire d’une lumière nouvelle notre existence et nos relations aux autres, et apporte un souffle d’air pur dans notre vie.

Un nouveau roman lumineux et positif de Laurent Gounelle par l’auteur de L’homme qui voulait être heureux, Les dieux voyagent toujours incognito et Le philosophe qui n’était pas sage.

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Le jour où j'ai appris ....

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Après la lecture de « Le philosophe qui n’était pas sage  » , il y a quelques mois et avec un avis en demi-teinte, j’ai souhaité donner une autre chance à l’auteur. Il faut dire aussi que ce livre était dans ma PAL depuis un peu plus d’un an et que je ne voulais pas faire comme avec le précédent. Plus de 4 ans, c’est bien trop ! (bon j’avoue qu’il y en a qui sont depuis … Trop longtemps). Allez, c’est parti !

Comment réagir lorsqu’une Bohémienne vous prédit un avenir impensable ? Comment vivre normalement avec le poids d’une telle nouvelle ?

Pour pouvoir réfléchir à sa vie, à ce qui est important pour lui, à ses valeurs, mais aussi à ses relations avec autrui, Jonathan décide de se réfugier chez sa tante Margie. Celle-ci est un soutien de poids de par son expérience et il sait qu’elle est la bonne personne pour lui venir en aide dans sa quête d’évolution. À partir de là, de longs échanges s’engagent entre eux. Il y est question de science, de biologie et de statistiques. Et pour donner plus d’impact à ses explications, Tante Margie, prend Gandhi et Nelson Mandela pour modèles d’évolution de sagesse.

Bien que cette partie soit nécessaire et instructive, je trouve que l’auteur ne l’a pas valorisée de la meilleure façon. Elle m’a paru longue, ennuyeuse et un peu trop moralisatrice à mon goût. C’est seulement sur les 100 dernières pages que j’ai été totalement captivée par ma lecture.

Jonathan change de comportement, remet sa vie en question et y apporte des changements tels que même les personnes qui lui sont les plus proches ne le reconnaissent pas ! Grâce à cette prise de conscience, il se sent plus libre qu’il ne l’a jamais été. C’est d’ailleurs grâce à cette partie, sur le fait qu’il nous permet de se poser des questions sur nos propres comportements et sur notre rapport Humain/Planète que j’ai bien aimé cette histoire. Ses pensées et ses actions m’ont énormément plu.

Malgré quelques bémols et un avis mitigé en conclusion, je vous conseille malgré tout de la lire pour vous faire votre propre avis. Pour ma part, cela ne restera pas une lecture mémorable comme avec le précédent d’ailleurs. Dommage…

Merci de votre visite et Bonne lecture

Complètement cramé !


Lassé d’un monde dans lequel il ne trouve plus sa place, privé de ceux qu’il aime et qui disparaissent un à un, Andrew Blake décide de quitter la direction de sa petite entreprise pour se faire engager comme majordome en France, le pays où il avait rencontré sa femme. En débarquant au domaine de Beauvillier, là où personne ne sait qui il est réellement, il espère marcher sur les traces de son passé. Pourtant, rencontres et situations hors de contrôle vont en décider autrement… Entre Nathalie, sa patronne veuve aux étranges emplois du temps, Odile, la cuisinière et ses problèmes explosifs, Manon, jeune femme de ménage perdue et Philippe, le régisseur bien frappé qui vit au fond du parc, Andrew ne va plus avoir le choix. Lui qui cherchait un moyen d’en finir va être obligé de tout recommencer…

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Complétement

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Il y a plus de deux ans, je découvrais la plume de l’auteur avec «  Quelqu’un pour qui trembler  » . Et bien que cette lecture ne m’ait pas laissé un souvenir impérissable, j’ai voulu tenter de relire l’auteur d’autant que ce livre était dans ma PAL depuis trop longtemps. Aujourd’hui je peux le dire, je ne regrette pas ! 😉

Soixantenaire, veuf et chef d’entreprise, Andrew Blake s’ennuie. Il décide donc de confier sa société à son assistante, Heather, en toute confiance afin de se reconvertir en simple majordome dans un manoir en France. Arrivé sur les lieux, il découvre de drôles de personnages. C’est auprès de Madame de Beauvillier (la patronne) Nathalie pour les intimes, qui depuis le décès de son époux s’est totalement renfermée, d’Odile (la cuisinière), Manon (la jeune femme de chambre) et Philippe (le régisseur) qui devient son complice au fil du temps, que Blake découvrira qu’il a fait le bon choix et les raisons pour lesquelles il est là. Tour à tour, il va les aider à résoudre leurs problèmes, à réparer les erreurs et à réconcilier les coeurs. Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que cette petite brochette de personnages hauts en couleur vont lui apporter bien plus qu’il n’aurait pu l’imaginer.

Je ne vous en dirai pas plus, mais je vous conseille vivement la lecture de ce livre. Même si parfois j’ai trouvé des scènes trop démesurées pour être crédibles, ça n’enlève rien au plaisir de cette lecture. Fluide et agréable, l’écriture reste simple. Les répliques sont parfois savoureuses, cocasses, certaines situations amusantes. Tout cela m’a bien fait rire.

Si ma dernière lecture était un peu tiède, celle-ci met de bonne humeur et du baume au cœur. Et j’avoue que cela fait du bien surtout par les temps qui courent !

Mais au fait, où est encore passé Méphisto, le chat d’Odile ? « – Qu’est-ce que ça veut dire, « complètement cramé » ?  » À vous de le découvrir 😉

Merci pour vos visites et bonne lecture !

Le jour où les lions mangeront de la salade verte


Maximilien Vogue, homme d’affaires puissant et charismatique, ne manque pas d’assurance. Il est même l’archétype du lion rugissant au caractère bien trempé, prompt à vouloir tout diriger et contrôler. C’est typiquement pour ces profils d’hommes et de femmes que Romane Gardener, piquante trentenaire, a créé son programme de relooking intégral de mentalité. Réveiller la sensibilité, l’écoute et la bienveillance chez ses clients, amener un peu plus de douceur et d’humanité dans ce monde de brutes, voilà ce qui l’anime ! Lui, si fier, elle, si passionnée… La rencontre entre Maximilien et Romane ne va pas être de tout repos. Une chose est sûre : elle va avoir du fil à retordre… pour son plus grand bonheur !

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J’ai découvert la plume de Raphaëlle Giordano il y a environ deux ans et c’est toujours un réel plaisir que de la lire. Alors avec cette première de couverture très estivale et drôle, il ne m’en a fallu pas plus pour me donner envie de la relire !

Romane, une jeune femme trentenaire, a créé sa société « Sup’de Burnes » avec son père Jean-Philippe, un ancien expert de l’art de la burnerie. Elle a pour but d’aider les personnes atteintes de ce qu’elle nomme « La Burnerie ». Il s’agit tout simplement de comportements déplaisants  tels que l’agressivité, l’égoïsme, l’égocentrisme… que tout un chacun peut avoir dans son cadre familial, amical, professionnel et même sentimental !

Pour cela, elle anime des ateliers et des exercices afin de délier tous les participants de ces mauvaises tendances. Tous différents, ils sont très attachants et parmi eux il y a Maximilien Vogue, un directeur général au profil typique de la burnerie du pouvoir. Sous l’insistance de Clémence son assistante et malgré son peu de convictions d’ailleurs, il s’y est inscrit mais surtout par défi des résultats. Son père lui avait inculqué que s’il ne voulait pas se faire écraser par les autres, c’était à lui de le faire. Romane va donc s’efforcer de lui démontrer le contraire ainsi qu’à ses autres acolytes et qu’en agissant de la sorte, on passe à côté de sa vie. Elle a du fil à retordre avec cet homme nombriliste, imbu de sa personne, très agaçant parfois et même si les autres le sont aussi, Romane se rend bien compte qu’avec lui c’est différent. Elle sait pertinemment que seule une personne souhaitant réellement changer peut y parvenir, mais elle ne baisse pas les bras, bien au contraire.

Je ne vous en dis pas plus, mais je vous conseille vivement de lire ce roman. Même si j’ai rapidement deviné la tournure que prenaient l’histoire et son épilogue, je peux vous affirmer que j’ai passé un agréable moment de lecture. Disons aussi que Raphaëlle Giordano a cette capacité indéniable de démontrer de manière objective les travers de l’être humain et cela fait du bien.

Alors même si cette histoire est pleine de bons sentiments (comme j’ai pu le lire dans certaines critiques), légère, un peu cliché – elle est aussi douce, agréable et en même temps nous pousse à réfléchir sur le comportement humain.

Un roman sur le développement personnel très divertissant, agréable à lire et parfait pour la plage !

Merci pour votre visite et bonne lecture 🙂 Et n’oubliez pas de laisser un petit signe de votre passage tout en bas, ça fait toujours plaisir 😉

 

Tu as promis que tu vivrais pour moi


À trente ans, on n’imagine pas que l’on peut perdre sa meilleure amie. C’est pourtant le drame que Molly doit affronter quand Marie est emportée par la maladie. Juste avant de mourir, celle-ci demande à Molly de lui faire une promesse : vivre sa vie pleinement, pour elles deux. Elle y tient, alors Molly accepte.
Mais par où commencer ? Lâcher son travail de serveuse ? Rompre avec Germain ? Certes, il est comptable et porte des chaussons, mais il est quand même gentil.
Quelques jours après l’enterrement, Molly reçoit un mystérieux paquet contenant douze lettres de Marie ; elle comprend alors que son engagement va l’entraîner bien plus loin que ce qu’elle imaginait…

Édition enrichie par l’auteur d’un bonus inédit

« Carène Ponte nous émeut, nous enchante, nous tient en haleine. Coup de cœur de la rédaction. » aufeminin.com

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Ce livre se trouvait dans ma pile à lire depuis le mois d’août dernier et j’attendais le bon moment pour le lire. Il faut dire que j’ai lu beaucoup d’avis élogieux et j’avais donc peur d’être déçue.

Carène Ponte maîtrise à merveille son sujet : le deuil . Malgré toutes les émotions par lesquelles je suis passée, elle est parvenue à me remonter le moral. J’ai pouffé de rire à plusieurs reprises tellement les situations où se trouvait le personnage principal étaient  burlesques. Le deuil est loin d’être gai, mais elle a réussi à me faire passer un agréable moment de lecture.

Ici, Molly traverse une période difficile depuis le décès de sa meilleure amie, Marie. Quelque temps après l’enterrement, elle reçoit un colis de la part de celle-ci contenant douze enveloppes. Une pour chaque mois avec un rêve qu’elle souhaitait réaliser. Elle lui demande de les vivre à sa place. Au fil des mois, Molly vit telle qu’elle aurait dû le faire avant la perte de cette amie chère à son cœur. Elle fait des découvertes sur elle-même et réalise enfin ce pour quoi elle vraiment faite. Auprès d’elle, Viviane, sa deuxième meilleure amie et Nadine, une personne toujours prête à l’aider, joueront un rôle important durant cette période. De son côté, la gent masculine n’est jamais bien loin. Mais est-ce une bonne chose pour Molly ?

Avec beaucoup de douceur, de fluidité, la plume de l’auteure m’a totalement captivé et bouleversé. Il m’est impossible de dire ce que je n’ai pas aimé dans ce roman. Son texte est tout à la fois : beau, triste, tendre, l’amour, la reconstruction de soi, tout y est. Avec sa sincérité et sa délicatesse, Carène Ponte, m’a conquise.

À présent, je suis persuadée de relire la plume de l’auteure et je vous conseille vivement de la découvrir. Vous ne serez pas déçu, j’en suis certaine !

Merci pour votre visite et bonne lecture 🙂
Et n’oubliez pas de laisser un petit signe de votre passage tout en bas, ça fait toujours plaisir 😉

En route pour Hollywood


Que serait l’histoire de Cendrillon aujourd’hui? Un peu féministe, à la fois drôle, dramatique et un brin surréaliste, c’est le résumé de la vie de Clémence. Clémence a 31 ans. Elle est maman de deux enfants, caissière à mi-temps au supermarché derrière chez elle et jongle entre son salaire, les alloc’ et le RSA pour boucler ses fins de mois. Ce n’est pas une working girl, ni une grande gueule bad ass, ni une bombe sortie d’un magazine. C’est une femme normale, qui a gardé ses rondeurs de grossesse et qui tente de survivre. Pour y parvenir, elle a trouvé une échappatoire à ce quotidien difficile: elle écrit. Clémence publie ses histoires sur Amazon, en espérant secrètement qu’un jour elle pourra en vivre.
Un jour, elle décide de participer à un concours d’écriture pour donner un petit coup de pouce à sa carrière naissante. Elle tombe sur un concours américain de scénario. Aidé de son ami d’enfance Gilles, elle tente l’aventure.

 

En route pour ....

 

Mon avis : Avant de commencer, je tiens à remercier Beth Carlington,  auteure de plusieurs nouvelles, qui a eu la gentillesse de m’envoyer son livre en Service de Presse. Après avoir échangé quelques mots et lu la quatrième de couverture de son dernier bébé, je n’ai pas hésité un instant. Beth a des univers très variés puisqu’elle a déjà écrit du policier, du fantastique, de la fantasy et de la romance érotique gay .

Dans ce roman, on découvre la vie de « Clémence » mère de deux enfants, Matteo et Lola âgés de 13 et 8 ans. Caissière dans un supermarché tout près de son domicile, elle est aussi autrice. Une vie lambda où elle tente de survivre et faire le deuil de son mari, Louis, décédé quatre ans plus tôt. À ses côtés, il y a « Gilles » son meilleur ami qui vient tout juste de rompre avec son fiancé. Ce dernier l’a quitté juste avant pour se marier avec un autre. Ne sachant pas où aller, il est venu trouver refuge auprès de Clémence.

Et c’est ensemble qu’ils vont travailler le projet d’un scénario pour un concours américain. Si son scénario est retenu, cela pourrait propulser la carrière de Clémence. Elle pourrait faire des rencontres inattendues et enfin se permettre de claquer la porte au nez de son employeur. Car bien souvent elle se taisait par manque de confiance en elle. Être une mère orchestre n’est pas de tout repos, mais si l’heure d’être reconnue pour ses capacités d’écriture est venue, alors elle n’hésite plus.

Ce roman feel-good m’a semblé simpliste dans un premier temps. Mais quelques heures après l’avoir fini et analysé, il est bien plus que ça. D’une écriture limpide et de manière très subtile l’auteure aborde des sujets délicats comme le deuil, la reconstruction, l’homosexualité, le harcèlement au travail.  Les personnages sont attachants et même si parfois j’ai eu envie de bousculer Clémence, je me suis attachée à elle. Chacun d’entre nous peut se retrouver en elle et en cela je trouve le travaille de l’auteure très intéressant. Il n’y a aucun jugement sur les choix de chacun, mais juste ce qu’il faut pour se dire que nous sommes tous les mêmes face à la douleur et que l’avenir nous réserve parfois de belles surprises.

Encore merci à Beth pour cette jolie histoire que je vous recommande vivement de lire. Douce et légère, elle est parfaite pour cette période de l’année 😉

Merci pour votre visite et bonne lecture !

Tu comprendras quand tu seras plus grande


Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus guère au bonheur. Une fois sur place, elle se souvient aussi qu’’elle ne déborde pas d’’affection pour les personnes âgées. Dire qu’’elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme.
Mais au fil des jours, la jeune femme découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Son quotidien avec les papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au coeur brisé lui réserve des surprises qui pourraient bien l’aider à retrouver le sourire. Sans oublier Raphaël, le petit fils d’une résidente, qui ne la laisse pas indifférente… … Une ’histoire de résilience, d’amour, d’amitiés, un livre plein d’humour et d’humanité, qui donne envie de savourer les petites joies de l’existence.

 

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Parce que la couverture et ses couleurs ont attiré mon œil, parce que le titre avait un écho en moi et parce que j’avais le souhait de découvrir l’écriture de l’auteure, je me suis enfin décidée de lire ce joli roman.

J’ai beaucoup aimé ces moments de lecture en compagnie de Julia et de ces joyeux lurons qui n’ont pas cessé de me faire passer par toutes les émotions. Chacun leur tour, ils apportent le meilleur comme le pire de leur expérience, de leur humour et de leur humanité. Une bande de retraités déjantés, drôles et attachants… Le comportement de certains d’entre eux m’a fait sourire souvent, rire parfois et plus encore…

J’ai apprécié l’écriture de Virginie Grimaldi dans son ensemble, mais je dois dire que certaines répétitions m’ont un peu gêné. Heureusement, il n’y en a très peu ! D’une écriture simple et fluide, elle nous décrit le parcours d’une jeune femme, Julia, qui pour fuir son ancienne vie va à Biarritz pour y travailler. Depuis quelque temps le bonheur lui semble impossible, voir inaccessible. Alors avec peu d’enthousiasme, elle se rend à la « Maison de retraite Les Tamaris » où elle occupera un poste de psychologue en remplacement maternité. Elle se retrouve donc dans « un mouroir » comme elle dit, seulement peu de temps après la perte de trois êtres chers. Et malgré quelques réticences, elle n’est pas au bout de ses surprises avec ces petits vieux.

Arrivée dans ce lieu quasiment à reculons, Julia va apprendre à connaître ces personnages, va apprendre de leur maturité, réapprendre à aimer et retrouver le sourire tout simplement.

D’un sujet sérieux et percutant, Virginie Grimaldi a réussi à le rendre plus doux en réunissant plusieurs générations avec beaucoup de drôlerie, de tendresse et d’amour. Et malgré les chagrins et les accidents de la vie, tous retrouvent une joie de vivre grâce à cette jeune femme même s’ils savent être là pour vivre leurs derniers jours.

Un livre à découvrir à tous les âges !