Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité


Écologie : il faut agir maintenant, il n’est pas trop tard pour éviter le pire !
La question écologique engage notre survie. Elle ne peut pas être considérée comme secondaire.
 » La vie, sur Terre, est en train de mourir. L’ampleur du désastre est à la démesure de notre responsabilité. L’ignorer serait aussi insensé que suicidaire.

Plus qu’une transition, je pense qu’il faut une révolution. Et c’est presque une bonne nouvelle.

Ce livre fait suite à l’appel, signé par 200 personnalités, que l’actrice Juliette Binoche et moi avons lancé dans le journal Le Monde du 3 septembre 2018. « 

**********

Le-plus-grand-defi-de-l-histoire-de-l-humanite

**********

Cela fait déjà plusieurs années que je m’intéresse à tout ce qu’Aurélien Barrau propose tant au niveau cosmologique, astrophysique et écologique. Et lorsque ce livre m’a été offert pour mon anniversaire, je ne vous raconte pas ma joie ! Aussi je l’ai vite lu, non « dévoré » et j’ai bien l’intention de le relire dans quelques mois.

Ici Aurélien Barrau nous explique avec beaucoup de simplicité et de justesse ce que nous savons tous ou du moins ceux qui ont pris réellement conscience que notre « Terre Mère » est en sursis. Avec pédagogie et clarté, il décrit les enjeux multiples et la situation sans précédent face à laquelle nous nous trouvons.

L’auteur n’est pas un magicien et n’apporte aucune solution miracle dans son livre. Alors même s’il est certain que celui-ci ne nous présente rien que nous ne sachions déjà, je pense que cette petite piqure de rappel est nécessaire. Ce cri d’alarme devrait être entendu et compris de tous.

Pour conclure, si je devais vous conseiller la lecture d’un seul livre pour les mois à venir, ce serait celui-ci ! Il en va de notre avenir et de celui des générations futures. Nous ne devons plus réfléchir, mais agir « Ensemble ». 

Trois amis en quête de sagesse


« Ce livre est né de notre amitié. Nous avions le profond désir d’’une conversation intime sur les sujets qui nous tiennent à coeur. »

Un moine, un philosophe, un psychiatre. Depuis longtemps, ils rêvaient d’écrire un livre ensemble, pour être utiles, pour apporter des réponses aux questions que tout être humain se pose sur la conduite de son existence.

Quelles sont nos aspirations les plus profondes ? Comment diminuer le mal-être ? Comment vivre avec les autres ? Comment développer notre capacité au bonheur et à l’’altruisme ? Comment devenir plus libre ?

Sur chaque thème, ils racontent leur expérience, leurs efforts et les leçons apprises en chemin. Chaque fois, ils nous proposent des conseils. Leurs points de vue sont différents, mais ils se retrouvent toujours sur l’’essentiel .

Un livre limpide et lumineux pour apprendre le métier de vivre.

 

th

 

Mon avis : Je n’en suis pas à mon premier essai et de savoir que ces trois personnalités se réunissaient pour celui-ci, je savais que tôt ou tard il serait lu. Dès que je l’ai vu passer à la bibliothèque, je n’ai pas hésité un seul instant.

J’ai passé d’agréables moments en compagnie de ces trois belles personnes que sont Christophe André, médecin psychiatre, Alexandre Jollien, le philosophe chrétien et bouddhiste zen et Matthieu Ricard, moine bouddhiste, scientifique de formation, traducteur du Dalaï Lama et participant à des projets humanitaires.

A tour de rôle et avec beaucoup de bienveillance, ils partagent leur point de vue sur de grands thèmes et mettent en avant leur expérience pour tenter d’apporter des éléments de réponse à des questions que tout un chacun peut se poser sur la vie. J’ai beaucoup aimé leur complicité et la simplicité pour parler de la condition humaine. Tous les thèmes sont illustrés d’exemples, d’expériences personnelles et tout cela sans aucun jugement moral. Il y avait une telle facilité dans leurs échanges que j’avais l’impression d’être auprès d’eux à les écouter.

Ce livre de douze chapitres est donc constitué de douze thèmes comme « Quelles sont nos aspirations les plus profondes ? », « L’art de l’écoute », « Altruisme : Tout le monde y gagne ». Toujours avec des références telles que Socrate, Spinoza, pour ne citer qu’eux, ils nous offrent de sages conseils pour une vie meilleure avec la nature et toute l’humanité. Pour devenir meilleur avec soi-même, se tourner vers les autres, vers la sagesse et avec beaucoup d’altruisme.

Certains de ces chapitres m’ont beaucoup parlé et d’autres un peu moins, mais dans l’ensemble je n’en retiens que du positif. Mon seul point négatif est que je trouve les propos d’Alexandre Jollien trop répétitifs. Comme certains le savent, j’ai lu quasiment tous ses livres. Et les mêmes mots, constructions de phrases, réflexions reviennent malgré le temps qui passe. Ce n’est pas que je ne l’apprécie plus, bien au contraire, mais ses deux comparses me donnent plus matière à réfléchir et m’apportent beaucoup plus sur bien des points.

En conclusion, je dirais que cette lecture a été agréable et qu’elle m’a beaucoup apporté à titre personnel. Un livre à lire, à relire et dont on peut beaucoup apprendre.

Lien : Plaidoyer pour le bonheur  de Matthieu Ricard ,  Le philosophe nuLa Construction de soiEloge de la faiblessePetit traité de l’abandonLe métier d’homme  d’Alexandre Jollien

Le philosophe nu


le-philosophe

 

Comment vivre plus librement la joie quand les passions nous tiennent? Comment oser un peu de détachement sans éteindre un coeur ? Eprouvé dans sa chair, Alexandre Jollien tente ici de dessiner un art de vivre qui assume ce qui résiste à la volonté et à la raison. Le philosophe se met à nu pour ausculter la joie, l’insatisfaction, la jalousie, la fascination, l’amour ou la tristesse, bref ce qui est plus fort que nous, ce qui nous résiste… Convoquant Sénèque, Montaigne, Spinoza ou Nietzsche, il explore la difficulté de pratiquer la philosophie au coeur de l’affectivité. Loin des recettes et des certitudes, avec Houei-neng, patriarche du bouddhisme chinois, il découvre la fragile audace de se dénuder, de se dévêtir de soi. Dans l’épreuve comme dans la joie, il nous convie à renaître à chaque instant à l’écart des regrets et de nos attentes illusoires. Cette méditation inaugure un chemin pour puiser la joie au fond du fond, au plus intime de notre être.

*******************************************************************

Mon avis : Au travers de son récit, Alexandre Jollien  partage avec nous ce combat qu’il mène contre lui-même, une histoire d’homme, celle de tous les hommes confrontés à des passions destructrices. Et c’est avec sagesse et simplicité qu’il nous livre ce message : Il faut se libérer de nos passions qui parfois, nous enchaînent. Il faut apprendre à vivre avec elles, car même si elles sont parfois douloureuses, elles nous rendent vivants .

Dans cet essai, il nous propose un mode de penser sa vie. Un mode qui lui permet d’accepter son handicap et de se défaire de « sa passion » ou plus précisément de son admiration, sa jalousie envers les garçons « normaux ». Car pour lui avoir un corps parfait signifie avoir une vie parfaite. Mais au fil de sa vie, de ses rencontres, d’un séjour dans un monastère pour pratiquer « Le Zazen » (posture de méditation assise de la pratique du bouddhisme zen), il réussira avec beaucoup de difficultés à se réconcilier avec son corps.

Conclusion : Pour avoir déjà lu un certain nombre de ses livres, je ne sais pas si je serais très objective en disant que j’ai beaucoup aimé le message que veut nous transmettre Alexandre Jollien. Avec des propos simples, drôles parfois, mais toujours avec beaucoup de sincérité, l’auteur, le philosophe, se met vraiment à nu. Et même si ce livre est court (202 pages), j’ai mis beaucoup de temps à le lire car il demande plus de concentration et de réflexions que ses autres livres. 

Un livre à lire car il permet à chacun d’entre nous de revenir à l’essentiel ! 

Petit traité de l’abandon


Petit traité

« Être vrai, me dépouiller des masques, oser l’abandon plutôt que la lutte, voilà qui me guide dans le périple de l’existence, où jamais nous ne pouvons nous installer. Pour demeurer fidèle à soi, pour vivre une authentique simplicité du cœur, tout un art est requis. C’est celui-ci que j’ai librement esquissé ici. Comment s’abandonner à la vie sans baisser les bras ? Comment goûter la joie sans nier le tragique de l’existence ? Comment traverser le découragement sans devenir amer ?

Ce Petit Traité de l’abandon tente de dégager un chemin vers la liberté intérieure et de dessiner un art de vivre qui permette d’assumer les hauts et les bas du quotidien. Ni mode d’emploi ni recette, juste des explorations pour découvrir quelques outils, et des exercices spirituels pour avancer. Ainsi, j’ai puisé dans la tradition philosophique et celle du zen une invitation à une vie plus simple, car le bonheur ne procède pas de l’accumulation mais du dépouillement. C’est la joie qui mène au détachement et non le contraire. D’où cet itinéraire vers l’abandon, né de mes joies et de mes blessures. »

A. J.

Mon avis :  Je ne serais pas très originale en disant que j’ai adoré cet essai d’Alexandre Jollien et du coup je ne serais peut-être pas très objective. En tant que Fan et après avoir lu quasiment tout ses livres, ici j’y ai encore lu de très belles pensées.

Sous forme de petits chapitres, l’auteur partage avec nous ses expériences qui ont fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. Il nous montre par de simples actions comment trouver une sérénité dans sa vie, comment se détacher de ces choses qui nous pèsent, mais qui au final ne sont pas si importantes dans l’absolu. Son message, c’est celui du lâcher-prise, de l’art de s’abandonner à soi-même pour vivre heureux.

Le message qu’il veut faire passer n’est pas original en tant que tel, mais venant de lui, il prend une dimension et une force particulière.

« Apprendre à ne plus refuser le réel, à accueillir ce qui est, sans résister, sans lutter sans cesse, cette fâcheuse tendance qui me mène à l’épuisement » Cette phrase d’introduction résume à merveille ce qui va suivre au fil des chapitres. Apprendre à s’ouvrir à la vie, aimer d’un amour inconditionnel, bienveillance envers autrui, dépouillement de soi en s’ouvrant à ce que l’on est vraiment,  gratitude en reconnaissant ce qu’il a de positif dans sa vie et encore bien d’autres « Pensées pour accueillir la vie telle qu’elle se propose ».

Tout ceci n’est pas si simple pour un être lambda et même lorsque l’on s’appelle Alexandre Jollien cela n’est pas plus facile. C’est d’ailleurs pour cela qu’il se répète un mantra « ce n’est pas compliqué ». Et si sur notre chemin il y a des barrières qui se dressent telles que l’handicap, la maladie et bien d’autres obstacles, seule notre force intérieure peut nous permettre de lutter et traverser les épreuves. Après avoir vécu dix-sept ans dans une institution pour personnes handicapées physiques qui mieux que lui pour nous parler ces choses-là.

Entre philosophie et Bouddhisme, il nous propose un texte sage, intelligent et extraordinaire à la fois. Un livre accessible à tous et qui apporte beaucoup spirituellement et humainement.

Je pourrais écrire encore et encore, mais comme vous le comprenez en me lisant, j’ai adoré ce joli traité. Je le garderais très précieusement dans ma bibliothèque et le relirais pour me rappeler à l’ordre dans les moments difficiles que la vie est un cadeau qu’il faut accepter avec  simplicité.

Merci à cette amie qui m’a offert ce livre et merci Alexandre Jollien.

La Construction de soi


Laconstructiondesoi

La Construction de soi rassemble une série de lettres dessinant un usage de la philosophie comme mode de vie, thérapeutique de l’âme. Ici, les philosophes ? de Boèce à Spinoza, d’Épicure à Schopenhauer ? sont interpellés et mis à l’épreuve. Ces guides présentent des voies pour se dégager du passé, des regrets ou de la haine de soi, se libérer du regard d’autrui et s’ouvrir au risque de l’acceptation.

Alexandre Jollien propose un dialogue intérieur qui prend la forme d’une correspondance adressée à Dame Philosophie, figure allégorique dont Boèce imagina recevoir la visite avant son exécution. Dans cet itinéraire, l’auteur esquisse le portrait de Dame Frayeur et de la Mort, avec lesquelles il faut bâtir une vie. Ces lettres dépeignent un état d’esprit qui tente de répondre à l’invite de Spinoza :

« Bien faire et se tenir en joie. »

 

Mon avis : J’ai découvert Alexandre Jollien depuis quasiment 1 an et depuis je ne suis pas déçue. 

Une fois de plus, il nous montre que la vie est pleine d’épreuves, mais qu’elle vaut la peine d’être vécue, qu’il faut vivre pleinement chaque instant. Écrit sous forme épistolaire, dans ce livre Alexandre Jollien s’entretient avec Dame Philosophie et des grands philosophes tels que Boèce, Spinoza, Schopenhauer.

Nous devons apprendre à vivre avec des embûches, des accidents de la vie et bien d’autres choses. Mais ici est décrit un bel apprentissage pour se dégager de nos regrets, de la haine de soi, se libérer du regard d’autrui et bien plus encore. Lors de son entretien avec Baruch de Spinoza, une phrase m’a tout particulièrement interpellé et je la trouve très représentative du message qu’Alexandre Jollien veut nous faire passer. Je cite : « Pour progresser, il convient de croire en sa valeur et la possibilité du progrès »

J’ai vraiment passé un très bon moment en sa compagnie et j’avoue avoir pris mon temps pour apprécier au mieux ce livre, car je pense qu’un livre de ce genre ne se lit pas comme un polar ou tout autre genre.

A présent j’ai hâte de lire 2 autres de ses livres qui sont déjà dans ma PAL, mais aussi le dernier écrit à six mains « Trois amis en quête de sagesse » de Christophe André, Alexandre Jollien, Matthieu Ricard.

Voilà pour cette dernière lecture !

Je vous souhaite de belles lectures et A très vite 😉

Le métier d’homme


Le métier d'hommeErasme disait qu’on ne naît pas homme mais qu’on le devient. Un véritable art de vivre est requis pour tenir debout, maintenir le cap et trouver la joie là où elle se donne. Ce sont ces grands chantiers de l’existence qu’Alexandre Jollien explore ici. Il revisite ainsi quelques-unes des grandes questions de la philosophie : le sens de la souffrance, l’art de la rencontre, le goût de l’autre, pour tenter d’esquisser un chemin de liberté et de légèreté. Il puise avec humour et sincérité dans son expérience de personne handicapée comme dans la tradition philosophique des outils pour savourer l’existence avec gourmandise. Le texte est suivi d’un entretien inédit avec Bernard Campan : « La pratique spirituelle, un autre nom pour le métier d’homme ».

Mon avis : De nouveau un très bon moment lecture avec ce texte d’Alexandre Jollien. Une fois de plus, il nous fait découvrir son monde tout en nous donnant une très belle leçon de courage. Il nous montre comment une faiblesse peut devenir une force. Avec de simples phrases, mais qui ont beaucoup de poids tel que « Non, les hommes ne sont pas encore tous égaux aux yeux de la société, car certains discours persistent à installer le pauvre, le handicapé, le malade au rang de malheureux », il partage sa philosophie qui ne laisse pas le lecteur insensible et lui donne matière à réfléchir. Courageux et lucide, il nous met encore une claque. Un livre qui nous tire vers le haut car même avec son handicap , Alexandre Jollien nous apprend tout simplement comme jouir de vivre .

NOSSO LAR La vie dans le monde spirituel


 

« Nosso Lar » est le nom de la colonie spirituelle qu’André Luiz nous fait découvrir dans ce premier livre, fruit de son travail.

Au cours d’un récit vibrant, l’auteur nous transmet ses observations et ses découvertes sur la vie dans Le monde Spirituel, à la manière d’un reporter qui relate ses propres expériences.

Il nous révèle un monde palpitant, plein de vie et d’activités, organisé de manière exemplaire, où les Esprits de la Terre passent par une période de rétablissement et d’éducation spirituellle supervisée par des Esprits Supérieurs.

« Nosso Lar » n’est pas le ciel ; c’est plus un hôpital, une école, une zone de transit. Mais cela nous permet de voir par avance le Monde Spirituel qui nous attend lorsque nous abandonnerons le corps de chair au moment de la mort physique.
Mon avis : Belle découverte d’un auteur dont l’écriture est fluide, simple et accessible. Les chapitres sont courts, mais complets dans leur description.

Belle découverte aussi d’un monde spirituel. Un monde où l’homme n’est pas là pour se détruire, mais à l’inverse se construire.
Au fil des pages, il y a une construction mentale du personnage.On y découvre le véritable « Amour » celui qu’on donne sans rien attendre en retour.

L’Altruisme, l’Amour, la Sagesse, le Pardon, la Fraternité sont autant d’objectifs à atteindre et qui lui permettront d’accéder à une certaine élévation spirituelle. Mais tout ceci prend du temps et lors d’une visite parmi les siens, André Luiz, aura une drôle de surprise.

Très bon moment de lecture

Mon dernier cheveu noir


Je regarde une vieille photo.

J’étais pas mal, avant.

Pourquoi, chaque année, je me trouve de moins en moins bien ?

Peut-être parce que c’est l’hiver ?

Si vous passez l’hiver, vous verrez :

l’été, c’est pareil.

Vous savez comment on s’aperçoit

qu’on est vieux ? Quand, même bronzé,

on reste moche.

 

Mon avis : Beaucoup d’humour et de réalisme de l’auteur sur le poids des ans que celui-ci a du mal à accepter. Le sourire m’est venu tout au long de la lecture de ces paragraphes très courts. Il utilise un ton dur et parfois cassant, ce qui peut surprendre par moment. Plaisant et rapidement lu.


 

Il y a de nombreuses demeures


Depuis toujours, il s’est trouvé des cultures et des hommes pour nous parler de l’existence de mystérieux univers parallèles. Aujourd’hui plus que jamais, notre société se montre fascinée par le sujet… Les récentes thèses de la physique quantique et les créations des artistes les plus visionnaires nous amènent en effet avec insistance à regarder dans cette direction et à nous interroger. Mêlant agréablement les anecdotes à de perçantes réflexions métaphysiques, cet ouvrage passionnera tous ceux qui sont en quête d’un autre niveau de conscience. Qu’en est-il de la Réalité de ce qui nous entoure, de nous-même et comment aborder la notion d’univers parallèle ? Au-delà des calculs mathématiques et des œuvres de science-fiction, il existe des êtres qui expérimentent directement, qui témoignent puis qui invitent à la réflexion. Daniel Meurois fait partie de ceux-là. Mystique bien incarné et explorateur des ¨espaces d’outre-corps¨ depuis plus de trente ans, il nous relate dans cet ouvrage une série de surprenants voyages à travers la pluralité des espaces de vie qui constituent notre univers. Du monde elfique à celui des Archanges en passant, entre autre, par ceux du rêve, de l’après-vie, de la Maya et des archétypes, c’est à une véritable initiation aux réalités multidimentionnelles qu’il nous convie. En nous confiant pour la première fois les récits d’un grand nombre d’expériences qui furent déterminantes dans son cheminement personnel, l’auteur donne ici naissance à une œuvre passionnante qui contribuera certainement à élargir et à embellir notre perception de la Vie.

Mon avis : J’ai eu du mal à le lire au départ. Je n’étais peut être pas dans un certain état d’esprit. Puis après l’avoir laisser de côté quelques temps, je l’ai repris et dévoré. J’y ai beaucoup appris et d’ailleurs je le recommande vivement. Un grand MERCI à ma belle-soeur qui me l’a prêté !